Dans son numéro du 21 février 2019, l’hebdomadaire Réforme consacrait un dossier spécial à l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE) suite à la diffusion, en janvier, d’un reportage choc sur les dysfonctionnements de l’ASE ayant créé la polémique et incitant le gouvernement à nommer un secrétaire d’État à la Protection de l’enfance.
Marc Vannesson, délégué général du think tank, a répondu aux questions d’Agnès Morel proposant, notamment, le soutien à la parentalité comme une solution pour accompagner les jeunes à la sortie de l’ASE.
« Le soutien à la parentalité est l’avenir de la protection de l’enfance », encourage Marc Vannesson, délégué général du think tank « Vers le haut », qui propose d’en faire, aux côtés de l’aide financière et au mode de garde, le troisième pilier de la CAF. « Au lieu de voir les parents comme un problème, nous pourrions les considérer comme le début de la solution », dit-il, avant de sortir sa calculatrice : « C’est le meilleur investissement que pourrait faire l’État : prenez n’importe quelle Maison des familles. En renforçant les compétences des parents, elle évitera peut-être 2 ou 3 placements. »
Retrouvez le dossier sur le site de Réforme
POUR ALLER PLUS LOIN :
