Favorisées par les confinements successifs, les cyber-violences visant les mineurs ont bondi de 57 % en 2020. C’est le chiffre rapporté par l’association e-Enfance, qui gère une plateforme d’écoute dédiée à ces phénomènes.
1 enfant sur 10 déclare avoir déjà été victime de cyber-harcèlement. Les principales raisons de ces violences sont pour 39 % des cas la jalousie ou l’envie, pour 33 % le physique et pour 22 %, ce sont des « vengeances ».
68 % des parents s’accordent sur le fait qu’il serait important de mettre en place ou de renforcer les sanctions à l’égard des cyber-harceleurs, et 51 % pensent avoir besoin d’une formation pour adultes, afin d’être sensibilisés aux risques des réseaux sociaux et des différents usages du numérique.