On le sait, les jeunes connaissent un taux de chômage plus élevé que la moyenne. Aujourd’hui, 23% des jeunes actifs de moins de 25 ans sont au chômage, là où la moyenne nationale tourne autour des 10%.
Deux catégories de jeunes sont touchées de plein fouet par le chômage :
- les jeunes issus des « quartiers prioritaires relevant de la politique de la ville », dont le chômage peut atteindre 45 % ;
- les jeunes les moins qualifiés, par opposition aux jeunes diplômés de l’enseignement supérieur qui sont plus de 80 % à trouver un emploi dans les trois ans qui suivent l’obtention de leur diplôme.
Ces jeunes sont souvent confrontés également à des freins sociaux dits « périphériques » (mobilité, logement), ou encore à l’absence de réseau et à une méconnaissance du marché du travail.
Dans son article, Pôle Emploi présente les secteurs d’activités qui pourrairent recruter ces jeunes (services à la personne, hôtellerie-restauration, santé, distribution…) et les aides (matérielles, humaines) auxquelles ils peuvent prétendre.
