Se sentir en confiance à l’école apparaît important pour ceux qui y passent une grande partie de leur temps : les élèves comme les personnels éducatifs – au premier rang duquel les enseignants. Cependant, ce sentiment de confiance n’est pas évident à caractériser ni à mesurer. En s’appuyant sur des enquêtes récentes, on peut cependant relever ce défi et tâcher d’identifier où se logent les fragilités de la confiance à l’école et formuler des propositions pour la renforcer.

La confiance est une valeur qu’on souhaiterait voir étroitement associée à l’école. Elle aurait vocation à s’incarner dans le fonctionnement au quotidien des établissements et au cœur des relations qui s’y tissent. Pour autant, la confiance peut apparaître comme une idée générique, voire abstraite, qui peut évoquer des sujets bien distincts.

En premier lieu, la confiance réciproque entre l’élève et ses parents d’une part et le personnel scolaire – enseignants, personnel de direction, d’animation, ATSEM, AESH, assistant d’éducation – de l’autre. Ou encore, la confiance des parents dans la capacité de l’école à faire grandir, progresser et s’épanouir leurs enfants.

Mais on peut également y voir l’importance pour les élèves de se sentir en confiance à l’école, de développer leur confiance en eux, d’avoir le sentiment qu’on leur fait confiance. Du côté des enseignants, la confiance en leurs savoirs et pratiques joue un rôle déterminant dans leur capacité à mener à bien leurs missions. Il en est de même des relations de confiance qui peuvent exister entre adultes au sein d’un établissement : le fait de pouvoir compter sur le soutien des uns et des autres, le sentiment d’une reconnaissance dans le travail accompli, entre autres.

Faire confiance et se sentir en confiance

La confiance se déploie donc à l’école dans deux dimensions fondamentales qui s’entretiennent mutuellement.

On demande ainsi aux élèves comme à leur famille de faire confiance à l’institution et à ses personnels pour participer à l’instruction, l’épanouissement, l’orientation des enfants qui leur sont confiés[1]. Du côté des professionnels de l’éducation, il peut également leur être suggéré de faire confiance à leur tour à l’enfant – en lui conférant par exemple de l’autonomie – comme à ses parents – en respectant certains de leurs choix éducatifs.

Mais une deuxième dimension de la confiance renvoie à un certain état émotionnel favorable à la bonne poursuite des missions de l’école comme au bien-être de ceux qui la peuplent. Ainsi, se sentir en confiance, est une dimension importante de l’entrée dans les apprentissages comme de l’épanouissement des enfants. Symétriquement, difficile pour les enseignants, et autres éducateurs présents dans l’école, de poursuivre leurs missions sans être dans cette disposition propice à leur plein engagement. Le sentiment de confiance est difficile à caractériser mais peut être approché par d’autres sentiments qui sont plus régulièrement interrogés dans les enquêtes à destination des élèves comme des personnels de l’école. Sans épuiser ce domaine, nous pouvons en retenir ici quatre : les sentiments de sécurité, d’appartenance (y compris dans la dimension de la reconnaissance), de compétence et de soutien (y compris l’écoute, l’attention, l’accompagnement).

Si « faire confiance » et « se sentir en confiance » peuvent parfois désigner les mêmes objets – faire confiance aux adultes à l’école participe effectivement au sentiment de confiance des élèves – il s’avère intéressant de dissocier ces deux dimensions. Nous nous pencherons donc plus spécifiquement ici sur cette deuxième dimension de la confiance en interrogeant les enseignements de plusieurs enquêtes récentes[2].

Un environnement à la fois sécurisant et intimidant pour les enfants

Interroger les enfants sur leur relation à l’école n’est pas évident. Il existe d’ailleurs peu d’enquêtes robustes sur ce sujet. Malgré tout, leur mise en perspective et l’identification de points de convergence nous permet de dresser un tableau du sentiment de confiance des élèves présentant un degré de fiabilité satisfaisant en première analyse. Explorons-en les différentes dimensions.

Sentiment de sécurité

Dans une enquête menée en 2021 par l’UNICEF sur plus de 25.000 enfants de 6 à 18 ans, seuls 6,5% d’entre eux disaient ne pas se sentir en sécurité à l’école[3].

Cependant, dans le même temps, l’école est identifiée par de nombreux enfants comme un lieu de violence. Par exemple, dans une récente enquête initiée par la fondation Apprentis d’Auteuil, 43 % des jeunes interrogés, âgés de 15 à 20 ans, déclarent avoir subi au moins une forme de violences en milieu scolaire – verbales, psychologique ou physique – de la part d’adultes[4].

Les violences interviennent également entre pairs. L’actualité autour du harcèlement nous le rappelle fréquemment. Une récente étude estimaient à 19% la proportion de collégiens et lycéens ayant été victimes d’au moins une forme de violences physiques, verbales ou psychologiques répétées[5].

Ces constats peuvent donner l’impression d’une ambivalence vis-à-vis du sentiment de sécurité à l’école des enfants. En première lecture, l’existence de violences – dont l’intensité n’est pas mesurée dans ces enquêtes – ne semble pas affecter massivement leur vision de l’école comme un lieu sécurisant.

Sentiment d’appartenance

Les enfants se sentent-ils les bienvenus à l’école ? En tout cas, ils se sentent très largement respectés dans leur identité – 88,3% se disent respectés par les adultes et 82,5 % par les enfants selon l’enquête menée par l’UNICEF en 2021[6]. Par ailleurs, selon l’enquête PISA 2022, 73% des élèves de 15 ans participants se disent à leur place à l’école.

Les élèves français perçoivent également l’école comme dans un environnement favorable aux affinités et amitiés. C’est particulièrement vrai pour les collégiens qui, dans une enquête commanditée par la direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP) et publiée en 2015, étaient 85% à répondre bien s’entendre avec les autres élèves et 84% à considérer avoir beaucoup de copains[7].

Ces chiffres dressent un constat plutôt encourageant sur l’hospitalité de l’école et sa capacité à accueillir en son sein les enfants dans leur diversité.

Sentiment de compétence

Ce sentiment est surtout abordé dans les enquêtes par l’inquiétude vis-à-vis de la réussite scolaire et des évaluations. Dans ce domaine, les élèves français manifestent un niveau relativement élevé d’appréhension et d’anxiété.

Dans l’enquête de la DEPP, 66% des 1002 élèves interrogés, du CE2 à la 4ème, disaient « avoir peur d’avoir de mauvaises notes  »[8]. On retrouve également des résultats relativement similaires dans l’enquête de l’UNICEF de 2021 où seuls 26,7% affirmaient ne jamais se sentir angoissés de ne pas réussir à l’école[9].

Ces résultats mériteraient d’être complétés par d’autres mesurant plus directement le sentiment de compétence.

Sentiment de soutien

Les enfants sont majoritaires (67%) à estimer qu’à l’école on les aide à avoir confiance en eux, en les encourageant et les félicitant. Ils expriment cependant une différenciation certaine entre l’école et la maison. Ainsi, alors que 55,8% des enfants interrogés répondent « oui, vraiment » à l’affirmation « à la maison, on m’aide à avoir confiance en moi », ils ne sont que 36,7% à faire la même réponse pour l’école[10]. Dans l’enquête de la DEPP déjà évoquée, seuls 50% des élèves interrogés considèrent que les professeurs les félicitent ce qui tend à confirmer un soutien perçu relativement mitigé[11].

Par ailleurs, seuls 53,3% d’entre eux estiment qu’ils peuvent se confier à un adulte qu’ils apprécient dans leur établissement[12]. Sentiment confirmé par les élèves participant à l’enquête PISA en 2018. Ils avaient été interrogés sur le degré d’écoute et d’empathie des enseignants : la France se classait à l’avant-dernière place des 28 pays où le questionnaire avait été soumis.

Ces constats tendent à dresser un bilan mitigé du soutien adulte perçu par les élèves. Avec le sentiment de compétence, le sentiment de soutien constitue donc les points les plus faibles de ce rapide panorama du sentiment de confiance des élèves. Qu’en est-il du côté des enseignants ?

Une confiance enseignante structurellement fragile

Deux principales études peuvent être mobilisées pour caractériser le sentiment de confiance des enseignants. Il s’agit de l’enquête internationale sur l’enseignement et l’apprentissage (TALIS) dont la dernière édition date de 2018 et du baromètre international de la santé et du bien-être du personnel de l’éducation (I-BEST) publié en 2023[13].

Sentiment de sécurité

Chez les répondants au baromètre I-BEST 2023 (plus de 10.000), le sentiment de sécurité est élevé (94%) ce qui place la France parmi les pays où il est le plus grand[14].  35% des répondants affirment également avoir été victimes de violence dans les douze derniers mois ce qui, pour autant, ne semble pas altérer de façon significative leur sentiment de sécurité.

On retrouve ici un sentiment relativement solide de sécurité partagé entre élèves et personnels éducatifs.

Sentiment d’appartenance

Le sentiment d’appartenance des enseignants doit être analysé sur plusieurs dimensions.

Ils expriment dans l’ensemble une bonne qualité de relation avec les membres de la communauté éducative. Dans le baromètre I-BEST, 93% des répondants estiment avoir une bonne relation avec les élèves, 84% avec les parents, 88% avec les collègues et 68% avec la direction. C’est sur ce dernier aspect que la France est un peu en retrait même si c’est mieux qu’en Belgique (66%) mais très loin par exemple de l’Argentine (90%).

Un sentiment de collégialité ressort également de ce même baromètre. 65% des enseignants considèrent que les décisions importantes sont prises en équipe ce qui classe la France parmi les pays les mieux placés (seul le Japon fait résolument mieux avec 77%). Par ailleurs, les réponses des enseignants français à l’étude TALIS 2018 dressent également un tableau plutôt positif du sentiment d’appartenance à la communauté éducative, en particulier vis-à-vis des collègues. Par

exemple, les deux-tiers des répondants considèrent avoir une conception commune de ce qu’est l’enseignement et l’apprentissage[15].

Cependant, si on prend une dimension plus étendue, à l’échelle de la société en général, le sentiment d’appartenance des enseignants paraît plus fragile principalement par la perception qu’ils ont de la valorisation de leur métier. Les enquêtes TALIS 2018 et I-BEST 2023 convergent sur ce point : seuls 3 à 6 % des enseignants interrogés considèrent que c’est le cas. Très loin de la moyenne de l’OCDE (autour de 25%).

Se sentir à leur place dans la communauté éducative, notamment du fait des bonnes relations qui y règnent participe au sentiment de confiance des enseignants mais leur sentiment plus général d’appartenance est entamé par l’image que renvoie leur métier au sein de la société française.

Sentiment de compétence

Il s’agit sans doute du point le plus inquiétant relatif au sentiment de confiance des enseignants. Ils s’estiment en effet relativement mal préparés et armés pour mener à bien leurs missions.

Ainsi dans l’enquête TALIS 2018, par exemple, 34% des enseignants français en élémentaire interrogés s’estimaient bien ou très bien préparés aux pratiques employées en classe contre 65% des enseignants espagnols et même 85% des enseignants belges. Le tableau ci-dessous, extrait d’une note d’information de la DEPP, résume bien le déficit de préparation perçu des enseignants français[16].

Dans cette même enquête, 29% des enseignants en élémentaire en France déclarent parvenir très bien à amener les élèves à se rendre compte qu’ils peuvent avoir de bons résultats ce qui les place en dernière position juste derrière leurs collègues d’Espagne (39%) et très loin derrière ceux d’Angleterre (71%). Là encore, le bilan global sur la compétence perçue des enseignants est pour le moins mitigé comme le rapporte également le tableau ci-dessous[17].

Cette perception déficitaire relative à leur préparation et à leur sentiment d’efficacité personnelle rend compte d’un sentiment de compétence altéré qui pèse lourdement sur la confiance des enseignants dans leur capacité à mener à bien leurs missions.

Seul le niveau perçu d’autonomie dans leur mission peut laisser présager d’une présomption de compétence. Dans l’enquête I-BEST, les enseignants français sont parmi ceux qui considèrent disposer de la plus grande autonomie. Ce qui peut faire l’objet d’une double lecture : l’autonomie conférée est une marque de confiance mais peut mener également à une forme d’isolement et à un manque de soutien.

Sentiment de soutien

Le sentiment des enseignants d’être accompagnés et soutenus dans leurs missions peut là encore se lire à plusieurs niveaux.

Les enquêtes rendent compte toutes deux d’une vision positive du soutien reçu par les pairs. Dans le baromètre I-BEST, 89% des répondants considèrent qu’en cas de besoin, ils obtiennent le soutien de leurs collègues. Dans l’enquête TALIS, ce sont 73 % des répondants qui considèrent qu’il existe dans leur établissement « une culture de collaboration qui se traduit par un soutien mutuel »[18].

Le soutien perçu de la part de la hiérarchie est beaucoup plus mitigé. Dans l’enquête I-BEST, seuls 52% des enseignants interrogés considèrent obtenir le soutien de leurs supérieurs en cas de besoin ce qui place la France assez loin des autres pays (83% au Japon, 77% au Québec ou en Suisse).

Si on se focalise sur une dimension plus personnelle, le sentiment de soutien des enseignants de la part de leur hiérarchie s’effondre. 88% des enseignants ayant répondu à I-BEST 2023 estiment leur hiérarchie peu ou pas du tout préoccupée par leur santé et leur bien-être ce qui classe la France en dernière position du panel de pays participants.

Au cœur de la relation entre les enseignants et leur hiérarchie – du moins si on s’en tient à ce qu’expriment les premiers – semble donc se loger une faiblesse du système éducatif français.

Viser la confiance : une ambition pour transformer l’école

Ce diagnostic révèle une symétrie intéressante entre les sentiments exprimés par les enfants et les enseignants. Tous relèvent une certaine robustesse dans leur sentiment de sécurité et d’appartenance ainsi qu’une faiblesse au niveau du sentiment de soutien reçu en particulier sur un plan vertical. Les élèves se sentent insuffisamment soutenus par les enseignants (ainsi que les autres adultes à l’école) et les enseignants par leur hiérarchie.

Par ailleurs, élèves comme enseignants expriment l’inquiétude de ne pas être à la hauteur de ce qu’on attend d’eux – peur des mauvaises notes et de l’échec chez les élèves, sentiment d’impréparation et d’efficacité personnelle restreinte chez les enseignants[19]. Ces deux diagnostics convergents soulèvent des points de tension relatifs à la confiance dans les relations ayant cours à l’école – en particulier entre les élèves et les enseignants et entre les enseignants et leur hiérarchie. Mais ils pointent également des enjeux au cœur du métier enseignant. Les outils qu’ils ont à leur disposition

nourrissent peu leur sentiment de compétence et leur mise en pratique participe également à susciter chez les élèves un même sentiment de difficulté.

A ce stade de l’analyse, certains leviers pouvant agir efficacement sur le sentiment de confiance à l’école des enfants comme des adultes semblent pouvoir être identifiés :

  1. Pour nourrir le sentiment de soutien des élèves, il existe déjà des solutions mises en œuvre dans certains classes et établissement : pédagogies permettant un suivi individuel renforcé, possibilité pour les élèves de solliciter des temps d’échange avec les adultes[20]. Une généralisation des dispositifs les plus convaincants – après évaluation – pourrait contribuer à augmenter le degré de soutien perçu par les élèves.
  2. La formation initiale et continue mériterait d’être repensée au regard des besoins exprimés par les enseignants afin de nourrir leur sentiment de compétence (sentiment d’être bien préparé et renforcement de l’efficacité personnelle perçue)[21].
  3. Les pratiques pédagogiques et les modalités d’évaluation peuvent être mises plus efficacement au service du sentiment de compétence développé par les élèves. Le recours à des démarches pédagogiques plus explicites, la qualité des feedbacks donnés par les enseignants aux élèves ou l’opportunité de recourir plus largement à l’auto-évaluation sont des pistes souvent avancées[22].
  4. Les modalités du suivi des enseignants par leur hiérarchie semblent devoir être repensées. En particulier, l’accompagnement professionnel mérite d’être renforcé dans une logique visant à nourrir le sentiment de soutien et y inclure plus spécifiquement des indicateurs spécifiquement consacrés au bien-être et à la santé. La logique d’évaluation au cœur de la gestion des ressources humaines enseignantes – « encore parfois vécu comme une évaluation sanction et non comme un temps d’accompagnement bénéfique pour la pratique professionnelle[23] » – nécessite probablement à ce titre quelques ajustements.

Derrière l’idée de confiance qui apparaît souvent comme relativement abstraite, il est donc possible de faire apparaître des objets concrets qui affectent la poursuite des missions de l’école. Les faiblesses de notre système éducatif, sur lesquelles se cristallisent des déficits de confiance, peuvent être identifiées à travers les ressentis des élèves comme des enseignants. Le décryptage du sentiment de confiance à l’école se révèle donc être une entreprise féconde pour envisager des pistes de transformation de notre école.

Stephan Lipiansky, rapporteur du cycle d’étude « Partageons les clés de la confiance »

[23] A titre d’exemple, le dispositif « Pause ton sac » aménage des moments d’échange à l’initiative de l’élève avec l’adulte volontaire de son choix.

[22] L’enquête TALIS de 2018 illustre à quel point les enseignants français sont insatisfaits de l’offre qui leur est proposée. Ils sont 47 % à considérer qu’il n’existe pas de formation appropriée à leurs besoins, contre 19 % en Belgique ou 24 % en Angleterre. Ils sont également majoritaires à considérer que l’accès à l’offre de formation est difficile.

[21] Voir par exemple le document de synthèse de la conférence de consensus « L’évaluation en classe, au service de l’apprentissage des élèves » menée par le Centre national d’études des systèmes scolaires (CNESCO).

[20] « Le protocole Parcours professionnels, carrières et rémunérations pour les enseignants : place et rôle des rendez-vous de carrière dans l’évolution et la progression de la carrière », rapport de l’Inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche, N° 22-23 008A, Juillet 2023.

[19] A noter que le sentiment de compétence des enseignants a aussi un effet sur celui des élèves comme le constatait une note du Conseil d’analyse économique en 2018 : « là où les adultes ont un fort sentiment de maîtrise personnelle, les enfants l’ont également » (Confiance, coopération et autonomie : pour une école du XXIe siècle, Les notes du conseil d’analyse économique, n° 48, octobre 2018).

[18] DEPP, « Le métier d’enseignant : pratiques, conditions d’exercice et aspirations. Les apports de l’enquête Talis 2018 », Education & Formations, N°101, Novembre 2020.

[17] DEPP, « Pratiques de classe, sentiment d’efficacité personnelle et besoins de formation : une photographie inédite du métier de professeur des écoles début 2018. », Note d’information, n°19.22, Juin 2019.

[16] DEPP, « Pratiques de classe, sentiment d’efficacité personnelle et besoins de formation : une photographie inédite du métier de professeur des écoles début 2018. », Note d’information, n°19.22, Juin 2019.

[15 DEPP, « Le métier d’enseignant : pratiques, conditions d’exercice et aspirations. Les apports de l’enquête Talis 2018 », Education & Formations, N°101, Novembre 2020.

[14] 11 pays ont participé à cette enquête : France, Espagne, Royaume-Uni, Suisse, Belgique, Argentine, Québec, Canada, Maroc, Cameroun, Japon.

[13] I-BEST porte sur tous les personnels de l’éducation mais 92% des répondants sont des enseignants.

[12] « Consultation Nationale des 6/18 ans. La jeunesse à bonne école ? », UNICEF,2021.

[11] « Consultation Nationale des 6/18 ans. La jeunesse à bonne école ? », UNICEF,2021.

[10] « Le bien-être des élèves à l’école et au collège. Validation d’une échelle multidimensionnelle, analyses descriptives et différentielles », Education & Formations, n°88-89, décembre 2015.

[9] « Le bien-être des élèves à l’école et au collège. Validation d’une échelle multidimensionnelle, analyses descriptives et différentielles », Education & Formations, n°88-89, décembre 2015.

[8] « Consultation Nationale des 6/18 ans. La jeunesse à bonne école ? », UNICEF,2021.

[7] « Consultation Nationale des 6/18 ans. La jeunesse à bonne école ? », UNICEF,2021.

[6] « Le bien-être des élèves à l’école et au collège. Validation d’une échelle multidimensionnelle, analyses descriptives et différentielles », Education & Formations, n°88-89, décembre 2015.

[5] « Enquête sur les violences en milieu scolaire », OpinionWay pour Apprentis d’Auteuil, Octobre 2022.

[4] « Etude sur le harcèlement entre pairs en milieu scolaire », IFOP pour Marion La Main tendue et Head & shoulders, novembre 2023.

[3]« Consultation Nationale des 6/18 ans. La jeunesse à bonne école ? », UNICEF,2021.

[2] Les études mobilisées ici ne portent pas toutes sur les mêmes publics et ont été menées en des dates et lieux divers. Cependant, elles convergent sur certains diagnostics et permettent d’avoir un aperçu suffisamment fidèle de l’état de la confiance à l’école.

[1] Cet aspect de la confiance est régulièrement interrogé et analysé par VersLeHaut dans son baromètre annuel Jeunesse&Confiance. Les résultats de l’édition 2023 sont à consulter sur le site de VersLeHaut.